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Une bonne nouvelle pour la biodiversité. Après plusieurs centaines d’années d’absence, le castor est de retour dans les Pyrénées-Atlantiques. C’est via un post Facebook repéré par franceinfo…
Une bonne nouvelle pour la biodiversité. Après plusieurs centaines d’années d’absence, le castor est de retour dans les Pyrénées-Atlantiques. C’est via un post Facebook repéré par franceinfo que l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONFCS) l’annonce.
L’enquête commence en février dernier, quand un naturaliste en vacances au Pays Basque repère des indices de la présence d’un castor sur les bords de la Nive, sur la commune d’Ustaritz. Le service départemental de l’ONFCS, un naturaliste local et deux associations de protection de la nature réalisent une expertise conjointe, dont le résultat est sans appel : ces traces sont bien celles du Castor fiber, ou castor eurasien, autrefois très répandu en Europe et en Asie. 15 000 castors en France
Mais le castor reste invisible. Des pièges photographiques sont alors installés, qui captent l’image d’un castor en plein abattage d’arbre ! Un seul individu a été observé jusqu’ici, probablement issu d’une population de castors espagnols qui remontent les cours d’eau vers la France. Reste désormais à savoir si d’autres individus sont présents dans les Pyrénées, et si cette installation va durer. Environ 15 000 castors vivent un peu partout en France à l’état sauvage, mais ces populations sont surtout issues d’opérations de réintroduction.
Le Pays basque ou Euskal Herria, soit le pays de la langue basque (l'euskara), est un territoire de tradition, de culture et d'histoire basque, auquel est associé un groupe ethnique, les Basques1 et une langue parlée par 28,4 % de la population et comprise par 44,8 %2,3. Appelé au Moyen Âge Vasconie, il s'étend de l'Èbre à l'Adour, sur deux pays, l'Espagne principalement et la France, à cheval sur l'extrémité occidentale de la chaîne des Pyrénées, et est baigné par le golfe de Gascogne.
Il est difficile de préciser avec exactitude les contours d'Euskal Herria dont les frontières administratives ne coïncident pas toujours avec les frontières ethniques et culturelles4. Selon l'Académie de la langue basque, il s'agit des territoires de langue basque nommés en 1643 par l'écrivain Axular dans l'avant-propos de son livre « Gero »5,6, à savoir les sept provinces basques traditionnelles (Zazpiak Bat) : le Labourd, la Soule, la Basse-Navarre, la Navarre, la Biscaye, l'Alava et le Guipuscoa.
Sur la base de cette définition, Le Pays basque recouvre actuellement 20 500 km2 et compte trois millions d'habitants7, répartis en trois entités politiques distinctes. Deux communautés autonomes espagnoles : la communauté autonome du Pays basque (dont les trois provinces, Alava, Guipuscoa et Biscaye, représentent 35 % du territoire et 70 % de la population totale), et la Navarre (plus de 50 % du territoire et 20 % de la population totale). Ainsi qu'une portion du département français des Pyrénées-Atlantiques : le Pays basque français (le Labourd, la Basse-Navarre et la Soule représentent 15 % du territoire et 10 % de la population), représenté par la communauté d'agglomération du Pays Basque depuis janvier 20178.
Les rongeurs ou rodentiens (rodentia) sont un ordre de mammifères placentaires. Ces animaux se caractérisent par leur unique paire d'incisives à croissance continue sur chacune de leurs mâchoires, qui leur servent à ronger leur nourriture, à creuser des galeries ou à se défendre. Le reste de leur morphologie est relativement variable, mais la majorité des espèces sont de petite taille, avec un corps trapu, des pattes courtes et une longue queue. La plupart des rongeurs se nourrissent de graines ou d'autres matières végétales, mais d'autres ont des régimes alimentaires plus variés. Ce sont souvent des animaux sociaux et beaucoup d'espèces vivent en communauté au sein desquelles les individus interagissent et communiquent entre eux de façon complexe. Le mode de reproduction peut être monogame, polygyne ou avec promiscuité sexuelle. De nombreuses espèces ont des portées de petits peu développés et dépendants, quand d'autres donnent directement naissance à des jeunes déjà relativement bien développés.
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